Dans la continuité du numéro 186 de Réponses Photo et de son article sur les appareils photos alternatifs, le projet numéro 10 s’intéresse à Holga, Diana, Lomo et consors. Votre mission, si vous l’acceptez est de publier en ces lieux une photographie prises avec les susdits appareils, ou inspirées par eux et manipulées en laboratoire (argentique, numérique, tout est permis).
Comme pour les projets précédents, vous publiez directement la photo dans le photoblog prévu à cet effet. Attention donc à la taille de l’image : entre 600 et 900 pixels de large.
Pour publier, il y a un identifiant : projets, et un mot de passe : imagine. Fermeture du projet vers la fin du mois. Ca se passe à l’adresse : www.photofloue.net/projets.
hem ça laisse deux semaines pour se procurer le matos ça!!! c’est pas gras…!
je peux tricher! il y a plus de 40 ans j’ai travaillé avec un Lubitel et j’ai conservé mes négatifs.
un stenopé cela compte ?
Euh, j’ai aussi eu un Lubitel…!
bon,je vais partir en quête d’un bijou en la matière,d’une pellicule…et de quelqu’un pour scanner les chefs-d’oeuvres!
Je viens de publier et c’est c’est ma première participation à un projet de Photofloue.net.
En raison du type d’appareil, j’avoue être un peu décomplexé sur ce coup.
Alors il est temps que j’aille faire développer ma première pelloche Holga… !
OK, on laissera un peu plus de temps !
Sténopé : oui sans problème !
Pour moi, ce sera en labo numérique !
ah là là…les iniatives de Philippe et de photofloue… pourvu qu’il dure ce blog, toutes mes attentes, toutes mes envies…je retrouve des années oubliées, une ouverture rare.
je vous embrasse.
on peut en mettre plus que une ??
bon ,j’ai trouvé un très mauvais kodac…pb, il faut des pellicules 127, j’ai trouvé un site allemand qui en vend,mais pas d’achat en ligne!
le temps que ça m’arrive jusqu’ici…
ça va se terminer en labo numérique 🙁
« kodak » pardon,je ne me suis pas relue…
@ tinange : moi aussi
@ julie vola : oui bien sûr (mais des bonnes 😉 )
Bon j’seqqai de trouver un Lubitel II !!
Bon j’essai de trouver un Lubitel II ( bref c’est pas facile de taper sur les bambous du clavier en mangeant sa salade)
marie
il te suffit de rembobiner du 120 sur une tije de 127 😉
ok! merci 🙂
Oups j ai confondu avec du 620
:/
essais de mettre du 135
J’ai un Holga depuis un an : il tire sa quintescence en vacances avec lequel enfin, j’ai pu prendre les photos que je voulais (genre glace italienne qui fond sous le soleil…) et trouvé sur un site allemand pour pas trop cher (50€ avec le FEDEX). Mon lubitel je l’ai trouvé dans un grenier de Manchester sur e-bay pour 30€ et là c’est magique!! En qualité c’est du Leica à côté du Holga, et effet nostalgie Kroutchnevienne garantie… C’est dur de retrouver son DSLR après un tour chez Holga and co…
à défaut d’arriver à rembobiner quoique ce soit,je vais abdiquer…ou prendre le dit « brownie starlet » en photo 🙁
il a pourtant des fonctions intéressantes: 13 couleurs ,noir et blanc!
Attendez moi ! ma pellicule est en cours de développement ! je l’aurai demain ! :p
Une question qui me turlupine depuis quelques semaines (outre le fait de savoir comment on fait pour écrire un post avec un pti bout de deux ans qui vous grimpe dessus) est le scan? Essentiellement de dia/négatif (genre ceux qu’on obtient avec un holga…) avec un scanner à plat. Comment on fait? Je me souviens de quelques articles intéressants dans RP mais je suis toujours un peu sur ma faim. Quelle résolution, quel logiciel utiliser, scanne en positif, en négatif, en couleur… Est-ce que quelqu’un serait prêt à une vraie démonstration sur un cas courant: scan d’un vieux négatif couleur sur un scanner photo type Canoscan 8600F/Epson 4990 sur un PC équipé d’un simple PE?
Réponse à Antoine,
Les caractéristiques du scan dépendent directement de ce que tu veux obtenir « in fine » sur l’image imprimée (ou confiée à un labo pour épreuve argentique…)
Il suffit de savoir que « grosso modo » une définition finale entre 150 et 300 point par pouce est suffisante pour une vision de type « expo » (à 1m on va dire, en très gros !!)
Tu décides de ton format final (30x40cm, 21×29,7cm -au hasard – ou tout autre format, et tu fait la règle de trois : de combien de fois la taille du négatif (ou de la diapo) va-t-elle rentrer dans le format final ?
Ce nombre tu le multiplie par 150 (ou 300 si tu veux qu’on puisse regarder la photo de près…) et tu obtiens le chiffre en pixels/pouces que tu dois positionner au scan.
Exemple : j’ai un 24×36 à scanner, je veux en faire une photo en 12x18cm
Le rapport entre les deux est de 5, il faudra donc que je scan au moins à 1500 ppp pour obtenir mes 300 finaux (le format 12×18 se regarde de près, donc je choisi 300ppp en final).
Je ne sais pas si j’ai été clair ?
Si non n’hésites pas à ne demander des infos
Alain
SUITE :
Pour le logiciel j’utilise Photoshop Element (le meilleur rapport qualité prix à mon avis) et je ne fait que TRES PEU de manipulations :
Essentiellement je joue sur la luminosité et le contraste (comme au labo en fait) et j’utilise aussi la commande « Tons foncés – tons clairs » qui est vraiment super et facile à utiliser.
Il reste à faire quelques essais avec l’imprimante (il est illusoire de penser que les couleurs apparaissant à l’écran vont être conservés sur le tirage…)
Il faudra donc ajuster l’écran ET l’imprimante pour être satisfait de la balance des couleurs et du contraste final.
C’est un peu de boulot mais une fois que c’est fait… c’est fait !!
A Plus
Alain
Une autre manière d’approcher le problème est, quand on scanne un négatif, de scanner à la résolution maximum du scan. De cette manière on a toujours la possibilité de tirer l’image en plus grand que prévu si affinité.
Le scan à plat doit avoir un système pour scanner un négatif, en pratique un éclairage dans le couvercle pour envoyer de la lumière à travers le film.
Avec le scan, il y a toujours un logiciel de scan, qui propose le choix document opaque / film + négatif / positif, il suffit de choisir.
Ensuite dans le scan il y a des possibilités de réglages (constraste, densité…). On peut les utiliser (on peut visualiser l’effet sur la vignette affichée par le logiciel), mais personnellement je préfère faire tous les réglages dans photoshop (ou autre) à partir d’un scan « neutre » : ce n’est jamais très bon de repasser deux fois sur des retouches.
Aux réglages de bases suggérés par Alain, j’ajouterais le renforcement de la netteté, en général indispensable.
Merci pour ces réponses. Je suis d’accord avec Philippe, j’utilise la résolution maximum (4800 pour du 24×36 et 3200 ou 2400 pour le 6×6) et manipulation a posteriori. Mais je me demandais si parfois en passant par le positif on ne pouvait pas récupérer un peu en précision. Autant en noir et blanc, je suis rarement déçu autant la couleur pose problème… Mon soucis principal est la très grande différence entre l’aperçu, souvent proche de la réalité et le résulat souvent très décevant. Par exemple, un néga vieux de 25 ans qui en aperçu était très correct (avec une touche très lomo) et qui scanné s’est retrouvé être bleu… Je l’ai récupéré en positif avec un résultat presque correct mis à part la netteté que je récupère via un plugin intéressant : focalblade(?).