Je rebondis sur un commentaire de Benjamin à propos de mon article sur Lightroom dans Réponses Photo, qui écrit la chose suivante :
Bon je fais mon chieur, mais pousser les gens a utiliser un logiciel qui est pas capable d’afficher des tons chairs justes et qui est incapable de restituer des rouges fidèles a l’opposé de tous les autres produits sur le marché venant d’un magazine comme le votre je trouve ca triste, mais bon d’ici 3 mois le problème devrait peut être être résolu avec la nouvelle version d’ACR …
Il suffira alors a tout le monde de réexporter toutes ses photos en Jpeg …
J’avais abordé le sujet dans un billet au mois d’avril Lightroom et les couleurs des fichiers raw, déjà aiguillonné par Benjamin, en testant Lightroom par rapport à Bibble. J’avais conclu par un match nul : Lightroom versant un poil trop vers le jaune alors que Bibble virait plutôt vers le magenta, Bibble donnant des interprétations plus immédiatement flateuses, Lightroom laissant plus de latitude au travail sur l’image. Les photos test étaient des paysages au coucher de soleil, les discussions portant surtout sur les images aux tons chauds.
Je viens de renouveler l’expérience, ayant des tons chairs et du rouge sous la main, à partir de photos faites ce week-end lors d’un mariage. En frontal : Capture One, Nikon Capture NX et Lightroom (en fait via le convertisseur intégré Camera Raw 4.4.).
Résultat des courses en images (images de grande taille cliquables, laissez un peu de temps au chargement)
De gauche à droite : Capture One | Nikon Capture NX2 | LIghtroom
Chaque série de 3 est une capture de l’écran affichant les 3 visualisations à 100%. Les 3 logiciels sont utilisés avec leurs valeurs les plus standard.
Photo 1 : Au flash, intérieur
Photo 2 : Soleil couchant
Photo 3 : milieu de journée
Photo 3 bis : idem photo 3, mais préréglage contraste moyen Lightroom
Ce que je constate :
- Les trois interprétations sont différentes. Aucune ne me déplait ni me semble à côté de la plaque. Une dimension subjective peut faire préférer l’une ou l’autre.
- Dans de tels cas délicats, il me semble préférable d’utiliser Lightroom avec la courbe de contraste plate (utilisée ici, sauf dans la 3bis).
- La teinte chair au soleil couchant souffre d’un réglage en contraste moyen avec Lightroom. Par contre le rouge de la robe est plus flatteur avec le contraste moyen — mais du coup les tons chair rougissent un peu.
- La photo 1 a pratiquement le même rendu dans les 3, c’est celle qui a au départ les tonalités les plus neutres
- La photo 2 donne trois interprétations différentes : Nikon fait un bon travail de rendu de la matière « peau », alors que Capture One est beaucoup plus métallique, Lightroom est acceptable. Nikon propose une dominante chaude assez marquée mais pas choquante (compte tenu du soleil couchant, mais on retrouve ce biais vers le jaune dans la photo suivante), Capture One est plus rose, et LR entre les deux, avec le rouge des lèvres nettement moins coloré.
- La différence la plus visible entre les trois développeurs de raw est sur les rouges : plus magenta avec Capture One, plus rouge chez Nikon, plus neutre chez LR plat, plus chaud chez LR contraste moyen — mais du coup les tons chair rougissent un peu. A titre indicatif, les mesures à partir des captures d’écran sur la même zone de la robe :
Capture One : R 65% V 10% B 16%
Nikon NX2 : R 70% V 12% B 15%
LR plat : R 65% V 17% B 18%
LR moyen : R 66% V 14% B 16% - Je ne retrouve avec aucun des trois développeurs de Raw la neutralité de la vignette que j’aperçois un bref instant dans Lightroom avant que le convertisseur fasse son œuvre. Je le regrette car cela pourrait être un point de départ intéressant pour un travail sur l’image.
En bref, je ne retrouve pas les critiques faites par Benjamin dans son commentaire vis à vis de Lightroom, à condition de « débrancher » le réglage par défaut de la courbe de contraste. J’avais été effectivement déçu à la première vision de cette série de mariage par des rendus parfois violents, jusqu’à ce que j’applique un réglage de courbe linéaire, quitte à monter le contraste via le curseur. Par contre, je suis d’accord sur les nécessaires progrès à faire pour cette famille de logiciels. Tous les éditeurs y travaillent; le sujet est complexe, dépend beaucoup des images et circonstances de prises de vues, ainsi que des appareils — ces photos sont faites au Nikon D200, et les critiques semblent plus vives du côté Canon.
N.B. Je n’ai pas d’action chez Adobe et j’ai payé mon Lightroom de ma poche 😉
Ayant longtemps utilisé Lightroom avec les raw d’un K10D puis maintenant sur un 5D, je me suis pas mal arraché les cheveux sur les differences de lecture de balance des blancs et de couleurs entre les logiciels propriétaires et le moteur acr. Effectivement la vignette preliminaire (le jpg qui sortirait du boitier) serait vraiment un bon point de depart pour les couleurs).
Je ne comprend pas qu’adobe et les fabricants n’arrivent pas à se mettre d’accord sur cette histoire de « copyright ».
Du coup sur les conseils de Benjamin je suis passé à Capture one moins ergonomique mais qui permet un reglage plus facile du problème par rapport à lightroom dont l’onglet étalonnage est quasi inutilisable même avec les résultats des scripts d’etalonnage existants.
Pour ma part j’ai du mal à comprendre le débat. Je ne suis pas spécialiste du traitement numérique, mais bon, un fichier RAW c’est un négatif, tous les négatifs ont leur complexité et ceux qui ont fait du labo couleur savent de quoi je parle… ! j’imagine qu’avec les logiciels la démarche est la même il faut trouver la bonne correction chromatique et le(s) bon(s) contraste(s) – Avec un logiciel c’est la même chose quel qu’il soit non, c’est une question de règlage perso ensuite non ?
Idem j’ai du mal a comprendre pourquoi un tel débat.
Un ‘dérawtiseur’ interprète le fichier brut par défaut comme bon lui semble, il n’y a rien de choquant à cela tant que le
bleu ne devient pas rouge (et franchement en regardant les images, les différences entre les logiciels sont assez subtiles…)
A chacun de re-interpréter sa photo en fonction de sa vision et de ses gouts. Certains photographes aiment les couleurs qui « pètent » d’autres des images très désaturées etc…
Et l’intérêt du Raw c’est de pouvoir faire SON image sans destruction.
Je ne comprends pas cette manière de considérer que l’image traitée par défaut par LR (ou autres) serait trop rouge ou pas assez.
Dans chacune des 3 comparaisons au dessus on peut dire celle qu’on préfère mais pas celle qui est la mieux ou la plus juste dans l’absolu.
Reste le fait (très regrettable) que les derawtisateurs n’intègre pas les algos effectués par les boitiers pour fabriquer leur JPEG.
Ce qui serait bien c’est effectivement que LR intègre des PlugIn cryptés qui serait livrés avec l’achat de l’appareil.
Peut-être je suis a coté de la plaque, si c’est le cas je veux bien qu’on m’explique.
C’est vrai que j’ai toujours eu un peu de mal avec la calibration de la chaîne graphique (Reflex Numérique, logiciels de traitement, écran, imprimante) Déjà qu’avec mon « vieux » Nikon D70 deux photo successive de la même scène ne donne pas exactement la même balance de couleur (même si l’appareil est calibré manuellement)
Mais déjà avec l’argentique les pellicules n’avaient pas les mêmes rendues de couleur et c’était beaucoup plus complexe à corriger.
C’est vrai, je n’ai pas le même rendu avec une image traitée par Lightroom que la même image traitée par Capture One. Ceci dit, les deux traitements ne me conviennent pas.
Il y a toujours une différence entre la réalité, ce que je vois et l’effet que je veux rendre. Il faudra donc toujours que je retouche à la colorimétrie de mon image pour qu’elle corresponde à l’idée que je m’en fais.
ça m’embêterait beaucoup de ne devoir travailler qu’en essayant de coller à la réalité. ça enlèverait tout le côté rêve (voir artistique) de mon travail pour ne garder que le côté scientifique. Et ça, en photographie, ça ne m’intéresse pas du tout…
C’est vrai que le sujet tourne facilement à la copulation de coléoptères. Il n’est cependant pas inutile de se pencher sur le sujet, je vais essayer de reprendre les bases.
Le développeur de Raw joue un rôle similaire au révélateur dans lequel on plonge le négatif noir et blanc : il va « révéler » l’image latente du film. Ce ne sera pas l’image définitive, car il faut derrière faire un tirage, qui laissera une grande latitude à l’interprétation. Pourtant, il y a une variété de compositions chimiques pour les révélateurs; l’un va donner un négatif plus contrasté, l’autre va donner des tons gris plus plats mais plus riches… Ensuite, on peut tirer la photo en baissant le contraste, en forçant sur les noirs, etc. Mais on n’obtiendra pas le même résultat à partir de négatifs développés dans des révélateurs différents. Il y a des négatifs plus faciles à tirer que d’autres.
Les dérawtiseurs vont rechercher un équilibre entre, d’un côté, la production d’une image directement utilisable pour qu’on n’ait pas un boulot monstre pour traiter chaque photo et, de l’autre, un traitement qui laisse une latitude de travail. Il est par exemple plus facile de saturer une image que de retirer de la saturation, idem avec le contraste.
Ainsi, certaines images sensibles (avec une forte dominante de couleur, ou des matières difficiles —Â la peau) vont donner lieu à des interprétations différentes selon le logiciel. Certaines de ces interprétations vont être plus proches ne disons pas de la réalité, mais d’un rendu conforme à celui que j’attends. D’autres vont donner une image plus marquée (rouges moins flatteurs, saturation ou contraste plus forts, dominante jaune…) qui vont me demander plus de gymnastique de correction, au prix éventuel d’une dégradation de l’image. Les logiciels deviennent plus performants dans le traitement par lots et il est moins fastidieux d’appliquer ces corrections à un ensemble de photos prises dans les mêmes conditions, mais moins on a à intervenir pour parvenir au résultat souhaité, mieux on se porte.
La complication est qu’on ne photographie pas des mires, et tous avec des appareils différents, et qu’on peut être personnellement plus sensible à un type de rendu. Les éditeurs doivent prendre des options qui fonctionnent dans un type de circonstance et sont moins bons dans d’autres : pourquoi Capture One me donne-t-il ce rendu brillant de peau dans la photo 2 ? Alors que nombreux sont ceux qui ne jurent que par ce logiciel… Pourquoi Benjamin ne retrouve-t-il pas ses rouges avec LR ?
Et en plus dans une même photo, il peut y avoir des demandes contradictoires : avec Lightroom, donnez moi le rouge de la robe de la photo 3B avec le rendu chair de la photo 3 !
A suivre…
Question subsidiaire : est-ce que Lightroom sait lire les négatifs numériques Minolta au format MRW (certainement pour Minolta RaW) ? Aujourd’hui je doit me contenter du pseudo-dé-rawtiseur (DiMAGE Masterlight) vendu avec le boîtier…
Et comme Minolta ne fait plus de photo… J’ai un peu peur de la réponse.
Suffit de télécharger une version d’essai de LR !
Pour revenir à un autre débat et apporter un autre axe de réflexion, un autre angle d’attaque à Benjamin, je ne suis pas convaincu qu’on puisse définir qu’un logiciel soit meilleur qu’un autre en matière de développement du ‘néga’ numérique. Je m’explique :
On peut (à juste titre) comparer les logiciels sur leur convivialité, sur leur interface graphique, sur leur « intuitivité » mais dans la mesure où comme le souligne Philippe le développement laisse toute latitude au photographe pour le tirage, je pense que l’essentiel est garanti par le logiciel – éventuellement là se situe un point de comparaison.
D’autant que (et c’est là que je reviens à l’autre débat annoncé plus haut avant d’être grossièrement interrompu par moi-même, bref…) ; d’autant que, disais-je donc, la photo ne peut pas être La Réalité elle n’en peut être autrement et n’en sera jamais plus qu’une interprétation. Libre à l’auteur de tirer plus ou moins rouge, contrasté, d’y ajouter du grain, un flou, un cadre…
C’est en ceci que, malgré le numérique, La Photographie est sauvée.
Pas c.. çà Philippe 8)
J’n’y avais pas pensé en cette heure tardive. Bonne nuit.
Je me souviens d’une époque (pas si lointaine) ou nous avions dans nos labos des révélateurs adaptés à différents types de films ou à des usages particuliers. Et il ne serait jamais venu à l’idée d’un laborantin averti de développer son APX 25 dans du T-Max RS ou sa 3200 Kodak dans du PQ Universal (le bien nommé !)
Vous allez rire, j’ai gardé ces habitudes sur mon ordi… Faible lumière et/ou contraste… capture one, chromie délicate… NX2…
Quand au PQ Universal, une boîte française à reprit le flambeau. Que DxO en soit remercié.
Tinange vient de parfaitement résumer les choses. perso j’ai toujours mon labo, mais je n’ai pas 36 logiciels de traitement…
Disons simplement que la seule ( mais là je ne suis pas objectif – sans jeu de mots) supériorité du négatif numérique sur le négatif argentique, c’est que le fichier RAW peut être traité sans destruction; En argentique, une fois le parti pris, et le développement fait, on ne revient pas en arrière…
Mais il faut ajouter aussi qu’au labo, souventes gens se contentent d’un ou deux couples film/révélateur qu’ils connaissent bien. Probablement que au clavier cela devient la même chose, quelque soit le « rendu » d’un logiciel, on doit finir par s’y habituer et adapter sa façon de photographier et de traiter.
A ce propos juste une question, en dehors de Nikon Capture, existe(-t-il un logiciel qui reprennene toutes les données des fichiers NEF?? ( Totoshop est loin de lire toutes les données, et les images perdent énormément avec ce logiciel)
Non, aucun logiciel autre que Capture ne tient compte des réglages des fichiers NEF relatifs au contraste, accentuation, saturation, etc. Si vous n’avez pas Nikon Capture et tenez à vos réglages, doublez la prise de vue en jpg + raw.
@Serge je n’ai pas de ‘preuve’ sur le sujet mais je crois pouvoir dire qu’aucun logiciel (hors Nikon) ne lit l’intégralité des données des fichiers NEF tout simplement parce qu’elles sont protégés par Nikon. C’est un enjeu industriel en fait.
Bonjour a tous,
Chaque logiciel de traitement RAW apporte son truc en plus, un rendu a sa sauce ect … j’en suis bien conscient.
Dans le cas présent je ne parle pas d’interfaces, de rendus plus flatteurs, d’options suplémentaires, du fait que le soft en question garde les réglages boitiers ou pas.
Je râle simplement sur le fait que Lightroom est une application géniale qui repose sur un moteur de rendu ( ACR, le même que dans photoshop ) développé sur un coin de table il ya de nombreuses années et qui pose un problème au niveau du rendu des tons rouges / orangés.
Ce problème est RECONNU par adobe et sera corrigé dans la prochaine version de Lightrrom qui devrait disposer d’un nouveau moteur d’ACR avec des profils adaptés aux boitiers ( comme dans la plupart des logiciels ) et non pas un profil générique limité.
J’ai posté quelques samples d’images ici http://www.photob.be/2008/01/09/lightroom-et-le-respect-des-couleurs/ et je suis tout a fait disposé a mettre des fichiers disponible pour la comparaison 😉
En fait, je suis d’accord : ACR / Lightroom est grandement améliorable, et il est regrettable (inacceptable, irritant, etc.) qu’il faille en modifier les réglages de base pour obtenir un résultat acceptable dans des conditions de dominantes chaudes très marquées.
Je ne comprends pas pourquoi vous faites du RAW si l’idée de corriger votre image en post-production vous irrite…
Le RAW est justement fait pour s’affranchir des soucis de colorimétrie. Le fait qu’un dérawtiseur ait un rendu « par défaut » un poil de cul trop saturé dans les rouges n’a aucune espèce d’importance dès que j’ai le loisir de modifier ce paramètre…
J’avoue que j’ai l’impression d’assister à un débat légèrement anachronique.
philippe, vincent : Non, les réglages de base on s’en fout du rendu du RAW, l’intéret est justement de pouvoir modifier selon ce que l’on recherche a faire passer dans l’image la dessus ont est tout a fait d’accord.
Si on cherche a faire du RAW pour avoir le rendu du Jpeg boitier autant faire du Jpeg.
Mon problème avec LR est que en poussant la temperature de couleur l’image part dans les oranges avec de gros applats au contraire de tous les autres logiciels qui eux rendent les rouges; rouges …
Un exemple ici :
http://www.photob.be/images/2008/lr/c1lr3s.jpg
Une temperature de 12400 K, le rendu de droite je l’ai dans tous les autres softs, dans LR il est incapable de me rendre mes rouges et s’enfonce dans des tons orangés.
Adobe est conscient du problème
http://www.utiliser-lightroom.fr/2008/05/14/colorimetrie-camera-raw-lightroom-bientot-du-nouveau/
Je dois dire que je ne connais pas ce problème. D’un autre côté, J’ai caractérisé mes 2 boîtiers. Effectivement, ça bouge du côté du rouge primaire dans l’étalonnage.
En comparant avec DPP, je n’ai pas vu de glissement évident.
Ce problème est bien connu et depuis longtemps, ce n’est pas lightroom qu’il fait remettre en cause mais ACR ( que Lightroom utilise pour dématricer ) raison pour laquelle je n’utilise pas lightroom ( étant photographe portraits/mariage ) j’ai très peu envie d’avoir des gens avec des peaux jaunes / oranges 🙂 et donc oui lightroom n’est pas capable d’assurer un rendu dans les tons chauds 🙂
Quid de LR 2.0 beta ?
est-ce que ces problemes existent encore ?
Il se prend pour qui ce benjamin? il fait 3 photos avec son beau d3 a 4000€ tout neuf et il se dit photographe…pathétique
Pour apporter ma pierre à l’édifice sachez qu’il y a un jpeg dans les raw et qu’il est possible de l’extraire.
Pour cela il faut utiliser ExifTool en ligne de commande :
»
exiftool -all= -tagsfromfile toto.raw -exif:all toto.jpg
»
(Il existe une interface sous windows peut-être qu’elle le fait : http://freeweb.siol.net/hrastni3/ )
Voici la marche à suivre pour l’installation sous Windows : http://www.lecelte.com/tutorial_exiftool.php
Sous Linux c’est beaucoup plus simple, utilisez votre gestionnaire de paquet favoris. Pour Mac OS je ne sais pas.
Pour les Linuxiens, voici un script « évolué » : http://www.virusphoto.com/4892-export-et-import-exif.html
Parait-il que l’on peut placer un copiright en filigrane dans ses images via LR pour éviter des copies sauvages sur internet : je n’ai pas trouvé comment faire. Est-ce efficace ?
Ca se passe dans le module web, colonne de droite « paramètres de sortie ».
Il faut au préalable avoir rempli le champ copyright dans les données IPTC : module bibliothèque > métadonnées.
Le copyright est bien conçu : assez discret mais très lisible, dans le coin en bas à droite.
Merci, pour ces explications que je n’avais trouvé ni dans le mode d’emploi ni dans le trés savant livre de Martin Evening.