Le miracle de la technologie fait qu’à peine remis du chèque que vous avez signé pour votre réflex numérique flambant neuf, il vous faut déjà songer au suivant…
Quelles sont les fonctions que vous n’avez pas sur votre réflex actuel et que vous souhaiteriez avoir sur le suivant ?
Pour ma part, deux souhaits :
L’option du format carré : le format 2/3, outre ses qualités esthétiques (nombre d’or), se justifie historiquement par l’utilisation du film cinéma 35mm : limité en hauteur, on augmente la taille de l’image en élargissant l’autre dimension. Malgré tout, l’image transmise via l’objectif n’est pas naturellement rectangulaire. Je souhaite donc que le capteur en tire parti pour m’offrir un format carré qui enregistre la totalité des informations qui lui parviennent. A moi de décider si je retaille cette information en 2/3, 16/9, 3/4 ou carré. Mon compact Lumix me propose ces 3 premiers choix, pourquoi pas le quatrième ? (sachant que pour donner le 2/3, il coupe le 16/9)
Le bracketing de distance : combien de fois ai-je pesté contre une photo nette sur le nez de la personne photographiée alors que je visais ses yeux ? Un bracketing de distance me serait mille fois plus utile qu’un bracketing d’exposition que je n’utilise que très rarement : la mesure de la lumière est performante, et le post-traitement permet de bien récupérer un exposition légèrement défaillante.
Quels sont les vôtres ?
Personellement, et celà vient peut-être de mon boitier entrée de gamme (300D) j’aimerais avoir un retur dans le viseur de l’histogramme une fois le cliché fait. C’est sur c’est pratique de rgardrer immédiatement le dos du boitier pour valider la photo prise. Mais un histogramme il n’y a rien de mieux pour controler en un éclair l’exposition. Alors, si, en plus il apparait dans le viseur pour la dernière photo prise…automatiquement…pas sur que je regarde mes clichés sur cet écran qui est souvent trompeur.
Sinon : pour le format carré : oui, oui, oui et oui.
Merci pour ce blog et pour sa richesse, bonne journée à tous
Aymerix.com
La visualisation de l’écrêtage du RAW lorsque l’on travaille en RAW (actuellement les infos affichées sur le dos sont celle d’une prévisualisation en jpeg avec les réglages jpeg du boîtier). Aujourd’hui, je dois laisser brûler un peu sur la prévisualisation jpeg pour obtenir une image qui ne l’est pas du tout mais qui fourmille bien après développement. Mais cela est aléatoire : l’écart entre le brûler du jpeg et du RAW n’est pas le même suivant l’intensité de la lumière (soleil présent ou absent).
La possibilité de charger des modes ou pas sur le boîtier lors de l’installation et à n’importe quel moment. Cela permettrait de simplifier considérablement l’interface. Par exemple, j’aimerais un mode RAW qui dégagerait alors toutes les fonctions concernant le jpeg (il y en a des tonnes) qui sont de toute façon inefficace en RAW. L’interface qui en résulterait serait considérablement allégée.
Accéder au réglage du diaphragme avec une main et à la vitesse avec l’autre.
J’aime bien ton idée de format carré qui permet de tirer parti de l’intégralité de l’objectif. On en discutait hier. On pourrait aller plus loin : un format circulaire 😉
Et bien pour ma part, j’attends depuis des années l’arrivé d’un boitier équipé d’un capteur carré noir et blanc. Oui oui, une version numérique d’un Blad 500, tout simplement… Je me suis toujours dit qu’un tel capteur ne devait pas être trop difficile ni trop cher à réaliser…
Pour le choix du format, je n’en aurais pour ma part plus l’utilité depuis que je recadre en post prod, mais je comprends l’intéret.
Par contre, le bracketing de MAP, avec les derniers progrès, ça risque d’arriver plus top que prévu (ou plutôt le choix de la MAP en post prod aussi…), et je ne serais pas contre certaines fois, c’est vrai que c’est rageant !
tout simplement : un flash integré orientable et plus puissant.
ou suppresion du flash integré pour un appareil mojns cher. Libre après d’acheter un flash….de qualité.
Le backeting de la MAP, je pense que l’on en a tous révé lorsque l’on travail à grande ouverture.
Dans la même idée j’aimerai pouvoir voir dans le viseur ce que je vais prendre de façon plus simple et moins approximative que le petit bouton mal placé qui me permet d’avoir la profondeur de champs.
Un truc qui m’énerve, avant sur le moindre objectif on avait un petit repère qui nous permettait justement de savoir qu’à telle ouverture on était net de telle distance à telle autres. Trop simple et trop peu chère surement car cela à disparu de mes objectifs. Dans la même idée on aurait pu sur un numérique avoir la posibilité d’afficher la profondeur de champs du type 0,3-5 pour 30cm 5m.
Pour ma part dans mon viseur 2/3 je peux imaginer mon recadrage carré, mais il m’apparait plus difficile d’imaginer 2 bandes noires horizontales pour passer du format carré au 2/3 ou alors il faudrait que le viseur s’adapte en fonction du choix que j’ai fait.
Remarquez que le format carré permettrait de s’affranchir de la manipulation peu gracieuse pour tenir l’appareil en mode portrait. Fini les grips…
Défaut : le miroir devrait être plus grand me semble-t-il, sauf si l’on entend par « carré » un simple crop du format APS ou FF habituel.
Avoir le choix des formats impliquerait aussi un travail au niveau du viseur pour « masquer » les zones non enregistrées.
Sinon, à titre perso, vu que la qualité semble baisser dans toutes les marques au niveau des « ajustements », impliquant toujours des prob de front ou back focus, je trouverai sympa d’avoir une petite fonction d’ajustement manuel du backfocus mémorisable par objectif (comme le MKiii, et dans une moindre mesure le K10D)
Je garde mon flash intégré par contre… ça débouche très bien les ombres dehors 😉
Très intéressantes toutes ces idées, pour moi ça sera un anti poussière vraiment efficace. On en parle depuis longtemps mais c’est pas encore arrivé, (seul Olympus ou alors Canon mais c’est pas trop efficace).
Alors : Oui au format variable, mais donc les optiques changent toutes non ?? car si je veux paser du confetti APS/C à un vrai format carré qui se tienne notamment en profondeur de champs, il faut d’autres optiques non? Le plus peut le moins. On peut imaginer un vrai capteur carré 4.5/6 qui permettrait au choix de se contenter du confetti APS.
Ensuite, Surout un vrai viseur dans lequel on puisse voir quelque chose, donc différent du viseur ridicule de mon D70S.
Avec en prime en fonction de l’optique utilisée un rappel de la distance hyperfocale de l’optique. Comme ça en balade, je shinte l’autofocus, je rèle à l’hyperfocale et je déclenche; mais si le sujet sort de la zone de MAP
Le braketting de map est une vraie bonne idée. On pourrait même imaginer qu’il soit couplé au braketing à l’ouverture…
Alors : Oui au format variable, mais donc les optiques changent toutes non ?? car si je veux paser du confetti APS/C à un vrai format carré qui se tienne notamment en profondeur de champs, il faut d’autres optiques non? Le plus peut le moins. On peut imaginer un vrai capteur carré 4.5/6 qui permettrait au choix de se contenter du confetti APS.
Ensuite, Surout un vrai viseur dans lequel on puisse voir quelque chose, donc différent du viseur ridicule de mon D70S.
Avec en prime en fonction de l’optique utilisée un rappel de la distance hyperfocale de l’optique. Comme ça en balade, je shinte l’autofocus, je rèle à l’hyperfocale et je déclenche; mais si le sujet sort de la zone de MAP
Le braketting de map est une vraie bonne idée. On pourrait même imaginer qu’il soit couplé au braketing à l’ouverture…
Désolé tout à planté et mon com est parti malgré moi!!!
je disais donc, une fois règlé à l’hyperfocale, si le sujet sort de la zone de mise au point je suis averti dans le viseur! Ce serait magique non ? Il suffirait que l’e  » cerveau » de l’autofocus reste operationnel mais n’agisse pas sur l’optique; seules resteraient les infos viseurs et la zone de MAP du viseur dont le sujet sort de la zone « nette » clignote en rouge.
Plus de délai à la mise au point, donc plus rapide.
Sur mon F6 j’utilise un 35 mm Zeiss manuel. En ballade, je l’utilise à l’hyperfocale et ça marche très bien.
Bon ok autant acheter un télémétrique…
Pour ma part, j’aimerais un obturateur avec une durée de vie bien plus longue.
Je suis avec un 400D actuellement, et 50.000 déclenchement me semble bien trop peu en regard du prix qu’on débourse.
Bien entendu, vous me direz que le Mark III à un obturateur d’une durée de vie de 200.000 déclenchements, mais là aussi, je trouve que c’est beaucoup trop peu.
50 000 photos sur un 400D = 0,012 Euro la photo…
En Parlant d’hyperfocale, justement un mode hyperfocal qui règle la mise au point suivant l’ouverture afin de garder l’hyperfocal… a moins que ça n’existe déjà ?
@ Sirdeck : L’hyperfocale étant la distance de map à partir de laquelle tu es net jusque l’infini à pleine ouverture, dès que tu fermes tu gangnes en profondeur puisque tu approfofondies le champs.
pas d’histogrames, pas de bracketings, pas de flash, pas de plusieurs formats, quelque chose comme ma FM2 ! vitesse, obturateur, declencheur, et l’hyperfocale qui etait marqué sur l’objetif ! je suis désolé mais est-ce qu’on utilise vraiment toutes les fonctions de nos appareils?
Une correction DXO directement a la prise de vue (une étape en moins en post traitement = plus de temp pour les photos) , la possibilité d’avoir un signal sonore et/ou lumineux dans le viseur quand l’expo est correcte (en fait il me fait un H3D….et un ticket de loto gagnant) et (mais là je reve un peu), un capteur doué de bascule pour rattraper les perspectives… l’idée du capteur carré est top, en plus on pourrait en cas de pv rectangulaire déplacer le cadre et donc obtenir un decentrement….
Olivier….qui fait beaucoup de photo d’archi 😉
@Serge : je sais bien ce qu’est l’hyperfocale 😉 la zone de net s’étale dans la profondeur de champs. Faire en sorte que l’infini se trouve au bout nécessite de faire le point sur une distance qui varie selon le diaph. Il s’agirait donc d’un mode qui « force » la mise au point pour obtenir la plus grande Profondeur suivant le diaph.
@G : voir plus haut 😉
Bonjour à tous,
dans mes desirs, pas si fous que cela, je verrais bien :
– le format 1/1 donc Carré, déja en place sur le dernier petit « calepin » de Ricoh, lui manque plus que l’enregistrement en RAW pour approcher le parfait… firmware, loup es tu 😉
– un viseur 100% pour tous
– ce Bracketing de distance est une tres bonne idée.
– un systême anti-poussiere (challenge du monde numerique) efficace, le systême du nouveau Sigma est plus qu’intelligent, est il vraiment efficace ?…
– la generalisation du format DNG, un nouveau format par Canon me fait froid dans le dos…
– le WiFi integré 😉
Voila déja une bonne base vers le parfait appareil.
Cordialement,
t.
@Sirdeck : Ok, mais si tu es a l’hyperfocale à pleine ouverture tu es net de, par exemple: 7 m à l’infini en règlant la map à l’hyperfocale, donc dans mon exemple MAP à 7m. Ca c’est le minimum. Dès que tu vas diaphragmer tu vas gagner en profondeur vers l’objectif sans modifier la MAP qui reste sur 7m, tout en restant net à l’infini, donc où est le problème ?? j’ai peut être pas tout compris, pourtant j’utilise l’hyperfocale tous les jours,!!! tu viens de jeter le doute dans mon esprit déjà tout encombré !! au secours!
OUI au recadrage, mais pourquoi n’exploite-t-on pas la souplesse du numérique pour les reflex???
Carré, panoramique, avec affichage dans le viseur de cadres…
et du l’écran arrière, orientable, autorisant la visée directe. Pourquoi est-ce résevé aux compacts??? A-t-on oublié les viseurs de poitrine autrefois réservés aux reflex????
Sinon, bien sur l’antipoussière, le pilotage de l’AF par l’oeil, une télécommande infrarouge (ça existait et ça fonctionnait très bien sur mon EOS 30) et puis 25 000 ISO, 8 IL de tolérance…
@ Serge : Ce que tu dis est juste, mais tu pourrais avoir plus de profondeur en modifiant la mise au point. En fermant le diaphragme, la profondeur s’accentue devant le point, mais derrière aussi. Si ne change pas la mise au point le gain de profondeur après le point est perdu dans l’infini. Tu n’es donc plus à l’hyperfocal. Un exemple sur un 350D avec un 50mm : à f/2,8 la mise au point doit être à 46,6 mètres pour avoir une profondeur de 13,3 mètres à l’infini. Mais à f/5,6, la mise au point doit être à 23,3 mètres pour avoir une profondeur de 11,65 mètres à l’infini.
Bref, moi ce qui m’intéresserait c’est que dans ce nouveau mode, la mise au point suit l’hyperfocale suivant le diaphragme. L’idéal serait bien sûr de pouvoir vérifier que le sujet est bien dans le champ net en passant un collimateur dessus et le voir clignoter.
@ Sirdeck: Merci de la précision. cependant si je me rappelle bien, l’hyperfocale reste la distance de MAP à partir de laquelle on est net de cette distance à l’infini et à pleine ouverture; A partir de cette distance le point sur l’infini reste net, seul ce qui est en arrière de cette distance de map peut être modifié en pdc en fermant le diaph et sans modifier la map. C’est du moins ce que j’ai appris.ce que tu me dis me surprend donc beaucoup
L’hyperfocale est liée à l’objectif, mais aussi à l’ouverture utilisée. Serge, on ne peut donc pas parler de l’hyperfocale d’un objectif, mais de l’hyperfocale d’un objectif à une ouverture donnée.
Exemple avec un 100mm monté sur un Canon 30D.
L’hyperfocale à f:8 est 66 mètres. Si je règle la MAP sur l’infini, la photo sera nette de 66 m à l’infini. Si je règle la MAP sur 66 m, la photo sera nette de l’infini à 33 m.
Si on ferme à f:16, l’hyperfocale va passer à 33 m. Si on laisse la MAP réglée sur 66 m, on va être net de 22m à l’infini. Si par contre on ajuste la MAP pour la caler à l’hyperfocale 33 m, on sera net de 16,5 m à l’infini.
Donc si on se contente de laisser le réglage précédent, on perd du potentiel de netteté. En quelque sorte, le gain de netteté est gâché au-delà de l’infini, comme le dit SirDeck.
Mettons que l’ouverture maxi de notre objectif de 100mm soit 2,8. L’hyperfocale est à 186 m. Si on règle la MAP à 186 m, on est net de 93 m à l’infini. Fermons à f:5,6. Si on laisse la MAP à 186 m, on est net depuis 62 m. Mais si on passe la MAP à 93 m, c’est net à partir de 46,5 m. En laissant le réglage à l’hyperfocale de la pleine ouverture, on perd une quinzaine de mètres de netteté.
Voir pour aller plus loin :
> le sujet dans photofloue (il commence à y avoir pas mal de choses dans ce site, ma foi !)
> cet article vous mène sur le site dofmaster sur lequel vous pourrez faire toutes les simulations possibles et imaginables.
> l’article sur la PDC dans le beau site d’Arnaud Frich
Et ben, là j’ai appris quelque chose…! Voila la def de l’hyperfocale que j’ai elle vient d’un cours sur la question:
 » Imaginons un objectif règlé pour une mise au point sur l’infini. Selon la longueur focale de cet objectif et l’ouverture employée, la zone de netteté ira jusqu’à une certaine distance de l’appareil.
A pleine ouverture du diaph cette distance – toujours identique – definit la distance hyperfocale de cet objectif…  »
 » …Si après, on règle sur la distance de mise au point minimum de la distance hyperfocale, cela permet de rester net à l’infini tout en allongeant la profondeur de champ ( c’est à dire que si à l’hyperfocale on est net de 15 m à l’infini, en réglant la MAP sur 15m, me permettra d’être net peut-être de 7.50 m à l’infini). mais la distance hyperfocale reste la zone de netteté quand la mise au point est faite sur l’infini à pleine ouverture, elle est invariable pour un objectif donné…
Je comprends ce que vous (et l’auteur) voulez dire : quelle que soit l’ouverture affichée la zone de netteté est garantie, on peut donc parler de l’hyperfocale de l’objectif comme l’hyperfocale à pleine ouverture. Ce serait une définition stricte du terme.
Je ne l’ai pas retrouvée dans ma doc (je suis allé rouvrir en particulier The Camera d’Ansel Adams, ce que je n’avais pas fait depuis un bout de temps !), ou sur le net, partout on parle d’hyperfocale à une ouverture donnée, mais il est vrai que mes bouquins sont plus des ouvrages de photographes que d’opticiens.
Dans la pratique, se caler sur l’hyperfocale dans sa définition stricte (à pleine ouverture) est dommage si l’on recherche la plus grande zone de netteté possible. D’un autre côté c’est faire le choix de la sécurité si on est amené à changer de diaphragme fréquemment, en conditions type reportage par exemple.
Voir aussi l’article très complet de Wikipedia en anglais, avec perspectives historiques.
votre discussion est très instructive,et je la suis de très très près…mais bon sang,pourquoi tout est en anglais? Si RP pouvait nous donner une leçon en français dans un prochain Numéro,j’avoue que çà m’aiderai…Bon Week-end à vous!
Mince, I was allergique à la pdc but for from Hyperfocal distance ça devrait aller avec un dico but the pdc in french or in english it’s very complicate for my.
En fait, pour ma part je ne me fie à l’hyperfocale qu’ avec de courtes focales, ( surtout mon 35mm) et je ferme de toutes façons toujours d’un ou deux diaph ( lumière permettante) , ce qui, même calé sur l’hyper à ouverture max, confère déjà une très grande profondeur de champs. J’avoue que ne plus avoir à se soucier du point dans certaines circonstances (quand tout bouge!) , est bien pratique, surtout avec un focale manuelle ! C’est pour cela que, un boitier reflex qui intègrerait les paramètres hyperfocaux de l’objectif monté, mais pourquoi pas à toutes les ouvertures, quand on y met un objo manuel par exemple ( ou autofocus debrayé), et signalerait par un clignottement d’un des marqueurs de zone autofocus ce qui sort de la zone de netteté, serait bien pratique à mon sens.
Je ne suis pas inquiet, je suis sur que Mr Nikon va intègrer tout ça dans son D3 full frame à monture F ( il a interêt!) qui sortira cet été!!!
Euh ! je vais digérer cela lentement.
merci serge
Un boitier 24×36 (« full-frame ») avec un capteur qui encaisse les rayons bien inclinés dans les bords, un vrai gros viseur 100%, silencieux, dans un boitier de la taille d’un Olympus OM ou d’un Pentax ME. Le tout pour 1000€ ?
La baïonnette serait interchangeable, et permettrait de le rendre compatible avec les optiques manuelles Nikon, Pentax, Zuiko, Contax, Leica R…
Je rêve ?
PS : je me passerais volontier de l’autofocus, et pas besoin de 10im/s, je suis pas vidéaste.
PPS : 18 M Pixels suffiront, je suis pas gourmand.
PPPS : une version télémétrique en monture M, je dis pas non. 🙂
1 – La dynamique d’un film réversible…
2 – Un vrai viseur 110% cadrillé (1/3) pour tout les boitiers!
on peut toujours réver hein…
moi,je peux rêver de plein de choses…mais j’attends les prochains reflexs,et les prochaines technologies…les autres boitiers deviendront opsolet et donc moins chers pour les non pro dont je fais partie…ayant préféré investir dans des objectifs,j’arriverai à trouver mon bonheur dans ce qui existe déjà! cependant,le format carré,j’aimerai…le bracketing de distance également ( mes MAP laissant toujours à désirer), j’aimerai aussi pouvoir descendre en iso au moins jusqu’à 25!
juste un petit détail : Pour faire ce que vous proposez, c’est une image ronde qu’il faut (non, je ne plaisante pas : Si on dessine un carré et un rectangle 2/3 (ou pire 16/9) inscrits dans le même cercle, on voit que restreindre le champ au carré fait perdre les côtés des rectangles : on perdra donc en définition pour les images que l’on veut conserver rectangulaires … et on aura un rapport de focale (par rapport au 24×36) encore supérieur !
… et puis une image ronde permettrait de rattraper les erreurs d’horizon avec moins de perte ! 😉